Un mois tout pile que je n'ai pas fait d'articles. Je ne suis même pas sûre de me rappeler de ce que j'ai fait pendant tout ce temps!
Ce qui est sûr, c'est que j'ai passé deux semaines avec Julien, mon amoureux, qui est venu me rejoindre ici pour les vacances. Deux semaines un peu comme un rêve où tout paraît naturel et surréel à la fois. On a passé Nowel ensemble à l'hôtel, entre les cadeaux que ma mère m'avait envoyé et ceux qu'on s'est fait, on a quand même eu un joli tas sous notre petit sapin. Puis on a décollé pour New York où on n'a pu profiter que d'un échantillon de cette graaaaaande ville. Une promesse d'y retourner. Je suis tombée malade et le suis toujours. On est rentré à Miami, on a assisté à un match de basket des Miami Heat, ils ont gagné.
Et puis Julien est parti. Et le lendemain ma coloc/amie Justine est partie. On a une nouvelle coloc, Elisa, italienne, gentille, mais qui ne remplacera pas Justine. Et aujourd'hui les cours ont recommencé. J'ai de nouveau Brian, et de nouveau une absolument toute nouvelle classe, de gens qui n'étaient même pas encore à l'école quand j'ai commencé mes vacances. Et dans ma classe de tourisme, maintenant c'est évènementiel et service clientèle (à la place de restauration et métiers d'accueil), et une nouvelle classe, les anciennes restent, mais on a 10 nouvelles... ça fait une grande classe. Ca ne me plaît pas trop. On verra. Mon planning est de nouveau merdique. Cours le matin ET l'après midi. Je sais pas si j'ose demander à changer. Je risque de tomber sur la classe d'Yvonne qui a une très mauvaise réputation (la prof, pas la classe).
Quand je me suis retrouvée seule ce week end, j'avais espoir d'avoir John comme prof, et j'avais hâte de retrouver ma chère classe de tourisme. Je me disais que ça me remonterait le moral. J'étais même un peu contente de retrouver un "chez moi", ma chambre, mon espace, même la cafet m'avait presque manqué. Et puis là, j'ai juste envie de retourner en France, retrouver ma Provence avec ses collines, ma chambre, mon lit, ma nourriture, ma famille, mon amoureux, et mes potes (oui, dans cet ordre). Coup de blues, mais il paraît que c'est normal. Plus de la moitié du chemin est fait. Je rentre en mars, et j'ai encore plein de choses à faire. Les Everglades, un dernier week end à Orlando, le Kennedy Space Center, un match de hockey, de foot, de baseball, un week end à Washington, quelques jours à San Francisco et j'espère à Saint Petersburg voir ce musée Dali.
Ca va passer vite. Je l'espère.
Ce qui est sûr, c'est que j'ai passé deux semaines avec Julien, mon amoureux, qui est venu me rejoindre ici pour les vacances. Deux semaines un peu comme un rêve où tout paraît naturel et surréel à la fois. On a passé Nowel ensemble à l'hôtel, entre les cadeaux que ma mère m'avait envoyé et ceux qu'on s'est fait, on a quand même eu un joli tas sous notre petit sapin. Puis on a décollé pour New York où on n'a pu profiter que d'un échantillon de cette graaaaaande ville. Une promesse d'y retourner. Je suis tombée malade et le suis toujours. On est rentré à Miami, on a assisté à un match de basket des Miami Heat, ils ont gagné.
Et puis Julien est parti. Et le lendemain ma coloc/amie Justine est partie. On a une nouvelle coloc, Elisa, italienne, gentille, mais qui ne remplacera pas Justine. Et aujourd'hui les cours ont recommencé. J'ai de nouveau Brian, et de nouveau une absolument toute nouvelle classe, de gens qui n'étaient même pas encore à l'école quand j'ai commencé mes vacances. Et dans ma classe de tourisme, maintenant c'est évènementiel et service clientèle (à la place de restauration et métiers d'accueil), et une nouvelle classe, les anciennes restent, mais on a 10 nouvelles... ça fait une grande classe. Ca ne me plaît pas trop. On verra. Mon planning est de nouveau merdique. Cours le matin ET l'après midi. Je sais pas si j'ose demander à changer. Je risque de tomber sur la classe d'Yvonne qui a une très mauvaise réputation (la prof, pas la classe).
Quand je me suis retrouvée seule ce week end, j'avais espoir d'avoir John comme prof, et j'avais hâte de retrouver ma chère classe de tourisme. Je me disais que ça me remonterait le moral. J'étais même un peu contente de retrouver un "chez moi", ma chambre, mon espace, même la cafet m'avait presque manqué. Et puis là, j'ai juste envie de retourner en France, retrouver ma Provence avec ses collines, ma chambre, mon lit, ma nourriture, ma famille, mon amoureux, et mes potes (oui, dans cet ordre). Coup de blues, mais il paraît que c'est normal. Plus de la moitié du chemin est fait. Je rentre en mars, et j'ai encore plein de choses à faire. Les Everglades, un dernier week end à Orlando, le Kennedy Space Center, un match de hockey, de foot, de baseball, un week end à Washington, quelques jours à San Francisco et j'espère à Saint Petersburg voir ce musée Dali.
Ca va passer vite. Je l'espère.